Le CNRT vous propose de télécharger ce rapport scientifique et Recommandations de gestion issus du projet ERMINES Liste prioritaire commune des espèces végétales rares et menacées  – Edition 2022

Ce programme a été réalisé de 2019 à 2022 par un consortium constitué de l’IRD, ENDEMIA et IAC et il a été coordonné par  l’IAC et IRD.

Ce projet a livré deux documents scientifiques dont :

En bibliographie, ce rapport sera cité de la façon suivante 

Lannuzel G., Bruy D., Munzinger J., Meyer S.,, Fourdrain A., Fogliani B., Isnard S., Hequet V., Karnadi-Abdelkader G., Warimavute G., Gâteblé G. (2022 ) – Rapport final. Programme « ERMines ». CNRT « Nickel & son environnement. 25 pages.

En bibliographie, ce rapport Recommandations de gestion sera cité de la façon suivante 

Lannuzel G., Bruy D., Munzinger J., Meyer S., Fourdrain A., Fogliani B., Isnard S., Hequet V., Karnadi-Abdelkader G., Warimavute G., Gâteblé G. (2020) – Rapport final – Volet recommandation de gestion. Programme « ERMines ». CNRT « Nickel & son environnement. 36 pages.

  • Résumé du Projet : Le programme ERMines avait pour but de réaliser une synthèse des connaissances disponibles
    concernant les espèces végétales rares et menacées (ERM) sur sites miniers. Pour accomplir cet objectif, les travaux ont concerné à la fois l’actualisation des listes d’ERM par massif minier, et un bilan des actions menées sur les sites en exploitation pour la conservation de ces espèces. Dans le cadre de cette étude, le concept d’ERM largement accepté localement, mais jamais défini clairement, a été traduit en deux étapes de travail. Ainsi, la définition de Wulff et al. (2013), la plus utilisée, à savoir les espèces ou taxons présents dans 3 localités ou moins est une définition des taxons micro-endémiques, c’est-à-dire à distribution limitée, ou “rare”. Cette définition a été utilisée
    pour le traitement des données, et de manière à faire ressortir les espèces rendues vulnérables par leur distribution limitée. Cependant, l’objectif final du projet était de prioriser les espèces les plus menacées. Les critères de l’IUCN (2012) ont donc été utilisés sur ces espèces, afin de retenir notamment les espèces En Danger (EN) ou En Danger Critique (CR) d’extinction. Au terme de ce projet, les “espèces prioritaires” des massifs miniers sont donc davantage des espèces menacées, au sens de l’IUCN que des espèces rares, au sens du micro-endémisme, bien que les deux informations soient disponibles comme résultats. De cette manière, les efforts de conservation pourront être focalisés sur celles qui présentent un fort risque d’extinction.