Extrait de l’article : Témoin de la pollution atmosphérique. Excellent bio indicateur de la qualité de l’air, le lichen a fait l’objet d’une thèse de l’UNC. Ce travail de quatre ans mené par Camille Pasquet vise à la mise en place d’un suivi des émissions atmosphériques liées à l’activité minière…. Dans le cadre de projets métaux Financé par l’UNC et le Centre national de recherches technologiques (CNRT) Nickel, le travail de Camille Pasquet s’inscrit dans le cadre de DMML, l’un des trois projets métaux du CNRT Nickel avec METExPO et Dynamine. Complémentaires, ces trois programmes cherchent à évaluer les émissions et les dépôts atmosphériques, et à connaître leurs effets sur les écosystèmes et la santé humaine. DMML se concentre plus spécifiquement sur la dispersion des métaux dans l’atmosphère, via la poussière, et dans les colonnes d’eaux. Une première restitution, début novembre, a permis aux équipes de recherche de présenter l’avancement des travaux, dont les résultats seront connus d’ici 2017, voire 2018.